dimanche 31 août 2014

Nachtmystium - The World We Left Behind

Nachtmystium - The World We Left Behind
Le groupe de l’Illinois n’existe plus depuis novembre dernier et c’est un album posthume que l’on reçoit durant cet été.

Quand on voit le tallent des américains encore gravé sur ce disque, on espère que le groupe saura se reformer et trouver un terrain d’entente afin de continuer leur carrière. Eux qui avaient commencé leur carrière il y a 13 ans avec un Black Metal des plus primaires ont su évoluer en sortant 7 albums à intervalles réguliers tous les deux ans et ce depuis 2002 pour arriver à leur couleur musicale propre d’un Black Metal expérimental et psychédélique perdu dans les vapeurs de drogues ingurgitées de toutes les manières possibles par Black Judd, leader incontesté d’un groupe hors norme ; mais qui par ses addictions a mené le groupe à splitter. C’est donc lui, tout seul qui s’était lancé, l’été dernier, à la composition de l’album, s’occupant des guitares, du fameux synthé, bruitiste accompagné par John Porada à la basse et Sam Shroyer à la batterie.

samedi 23 août 2014

Sólstafir - Ótta


Sólstafir - Ótta

Vous y êtes ?
Vous êtes prêts ?
Pour changer, rêver, oublier mais surtout pour partir… loin, très loin…
On commence par du sublime avec « Lágnætti ». Vous ne connaissez pas l’islandais, et bien tant pis, vous allez quand même être touché par la grâce, le divin, le sublime. Les notes de piano viennent effleurer votre peau tandis que la voix hors norme d’Aðalbjörn "Addi" Tryggvason accompagne le tout avant que les guitares « larsenisées électroniquement » de Sæþór Maríus "Pjúddi" Sæþórsson arrivent pour vous surprendre et que la voix prenne le rythme général de l’envolée.

1349 - Massive Cauldron of Chaos

1349 - Massive Cauldron of Chaos
J’aimerais savoir ce que représente le mot « groove » dans la tête de Frost.

Dans l’interview réalisé au Hellfest il me racontait que Massive Cauldron of Chaos était un album plus « groove » que les précédents… je pense que Frost ne doit pas avoir la même notion de ce mot que James Brown.

Car sur les premières notes de « Cauldron » c’est une avalanche de puissance déstructurante qui s’abat à coup de blast sur l’auditeur. Mais tout de même pour en revenir aux propos du batteur avec cet album, 1349 est peut-être devenu plus abordable bien que les riffs en formation « essaims de frelons asiatiques » sont là pour faire du mal ! Tout comme le haineux « Slave » où de petits riffs viennent de temps en temps alléger les propos.